Située à Paris, rive gauche, à deux pas de la Tour Eiffel, la Galerie Napoléon spécialisée dans la vente en ligne de gravures anciennes et documents historiques, expédie ses antiquités à travers le monde depuis plus de 20 ans.
En plus des milliers de passionnés de gravures en France et à travers le monde, la Galerie Napoléon est heureuse de compter parmi ses clients de prestigieux cabinets d'architectes d'intérieur, des archives nationales, des musées ainsi que des monuments historiques. Tous attirés par l'extraordinaire richesse de son catalogue ainsi que par la qualité et la rapidité de son service.
Cette expérience nous permet de garantir à chacun de nos clients l'authenticité des œuvres de la collection ainsi que l'expédition des commandes sous 24 heures.
Le catalogue d'antiquités de la Galerie Napoléon est constitué de plus de 40.000 estampes, gravures et documents historiques du XIVe au XIXe siècle. Il retrace l'évolution des procédés de gravure au cours de ces siècles.
Voici un court résumé des techniques les plus utilisées :
L'allemand Aloys Senefelder inventa la lithographie en 1796.
Cette technique d'impression repose sur le principe de répulsion de l'eau et de la graisse.
L'artiste dessine au crayon ou à l'encre grasse lithographique sur une pierre calcaire non poreuse à l'eau. Les parties non dessinées sont recouvertes d'une solution de gomme arabique et d'acide nitrique. Lors du tirage des épreuves le lithographe mouille la pierre et l'encre au rouleau. L'encre grasse se dépose sur les parties dessinées.
Maso Finiguerra, graveur florentin inventa la gravure en taille-douce au XVe siècle.
La taille-douce est un procédé de gravure en creux sur métal (cuivre, acier, zinc ...).
L'artiste grave en creux les parties où l'encre doit se déposer.
Le tirage des épreuves est réalisé à l'aide d'une presse à taille-douce.
L'encre étendue sur la plaque et demeurant dans les creux se reporte sur le papier sous l’effet d’une forte pression.
La xylogravure (gravure sur bois) a été utilisée dès le VIIe siècle en Chine, en Corée et au Japon.
L'artiste dessine sur une matrice en bois. Les contours sont creusés au burin ou à la gouge par le graveur. Les parties gravées apparaîtront en blanc à l'impression.
Pour encrer le relief on utilise un rouleau ou un tampon avec une encre suffisamment ferme pour ne pas couler dans les creux.
Le tirage des épreuves est réalisé à l'aide d'une presse.
L'eau-forte est employée dès le Moyen age.
C'est un procédé de gravure sur métal (recouvert d'un vernis à graver) à l'aide d’un acide ou mordant.
L'artiste (aquafortiste) exécute son dessin en retirant le vernis aux endroits qui recevront l'encre lors de l'impression.
Le tirage des épreuves est réalisé à l'aide d'une presse.
L'aquatinte fut inventée au XVIIIe siècle. C'est un procédé de gravure proche de l'eau forte. Il est destiné à obtenir des effets de teinte en aplat.
Ce procédé consiste à recouvrir une plaque de métal d'une couche protectrice plus ou moins dense, puis à la plonger dans un bain d'acide. Il permet d'obtenir une surface composée de points plutôt que de traits par lesquels on obtient différentes tonalités de couleur.
L'aquatinte permet d'obtenir des valeurs de gris léger à noir foncé.
NOV. 2020
Parthénon - Acropole d'Athènes (Grèce)
Mise en vente d'une collection de 132 héliogravures.
NOV. 2020
Vues de la Vendée (France)
Mise en vente d'une collection de 125 lithographies.
NOV. 2020
Uniforme Militaire - Russie - Allemagne (19ème Siècle)
Mise en vente d'une collection de 24 gravures sur bois.
NOV. 2020
Garnisons en Alsace (19ème Siècle)
Mise en vente d'une collection de 36 impressions.